Le concept fait son p’tit bonhomme de chemin. Dispendieux pour le moment, certes, mais fort prometteur. Et comme n’importe quoi, plus les années passeront, plus le concept se fera abordable. Nous parlons de la géothermie.

Le principe est simple. Le but est de récupérer la chaleur du sous-sol pour chauffer la maison. La beauté de tout ça, c’est que cette énergie est inépuisable. Et aucun agent polluant.[……]

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Des années 60 aux années 80, c’était la ruée vers les moquettes, ces fameux tapis mur à mur. Décoratives, chaudes, confortables, parfois moelleuses, elles avaient tout pour plaire. Les fibres synthétiques couvraient les planchers du Québec comme une traînée de poudre.

Devant la dégradation accélérée de l’environnement, les écologistes poussèrent les moquettes hors de nos maisons. Les raisons sont nombreuses.  La moquette est un agent hautement polluant, de la fabrication jusqu’à l’utilisation. Elle est non biodégradable, non durable, se recycle à peine, renferme de nombreuses substances chimiques toxiques et se nourrit de produits pétroliers.

Les spécialistes de la santé ajoutèrent leur grain de sel avec un argument béton: la moquette peut être dangereuse pour la santé. Elle attire vers elle tout ce qui navigue dans l’air: poussière, résidus chimiques, acariens, humidité et même les déchets de l’extérieur qui collent aux semelles. Sans compter qu’elle contient des composés organiques volatils (COV) et se transforme parfois en nids de microbes. Cela sonna le glas des moquettes. On en voit de moins en moins.

Les purs et durs ont essayé de ranger les tapis parmi les impies de l’environnement, en vain. Aujourd’hui, certains tapis sont entièrement faits de matières recyclables.  [……]

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[caption id="attachment_13989" align="alignright" width="266"]iStock iStock[/caption]

L’un de nos enfants est entré d’urgence à l’hôpital récemment. Elle avait terriblement mal à l’oreille. Les jours avant, elle avait des maux de ventre insupportables. Diagnostic: otite aigüe.

Elle a 32 ans. Elle a passé plusieurs jours à l’hôpital. Les médecins se sont relayés. Ils ont réussi à éviter l’intervention chirurgicale. La bactérie s’attaquait aux tissus autour de l’oreille. De l’inquiétude flottait dans l’air. C’était palpable. Ce ne fut jamais très clair, mais finalement la bactérie a été vaincue. C’est ça le plus important.

Difficile de déterminer la cause, mais nous savons qu’Anabel avait pris du bon temps chez l’une de ses amies tout juste avant. Piscine et spa.

Dans la même période, je tombe sur un avertissement de Santé Canada. Il faut analyser et assainir l’eau régulièrement pour éviter de tomber malade, disent les experts de Santé Canada, car piscines et spas sont «des milieux favorables à la prolifération des bactéries et des virus». Symptômes : infections de l’oreille, maux de ventre, éruptions cutanées.

Voici ce que prescrit Santé Canada.[……]

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L’avenir n’appartient pas seulement aux écomatériaux. Le verre en est la preuve éclatante.

Au départ, c’est-à-dire il y a des siècles et des siècles, le verre était peu transparent et peu résistant. Les progrès de la science ont permis au verre de gagner en transparence et en solidité. C’est pourquoi la fabrication du verre exige beaucoup d’énergie car le degré de transformation est élevé. Elle dégage du CO2, des métaux lourds et des gaz polluants en quantités industrielles.

Le verre est donc loin derrière le bois, la pierre, la terre ou la paille en termes de matériaux écologiques. Par contre, il devance de beaucoup les bêtes noires des écologistes que sont le PVC, l’aluminium et même l’acier.[……]

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En regard de l’habitation écologique, que fait-on du bon vieux «Plywood»?

[caption id="attachment_13849" align="aligncenter" width="579"]iStock iStock[/caption]

Certains rejettent ce panneau de bois utilisé depuis des décennies par les constructeurs. D’autres se montrent plus souples.

Écohabitation, l’organisme de référence au Québec en matière d’habitation écologique, ne le jette pas à la poubelle, sans pour autant le glorifier.[……]

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L’un des premiers maires de Laval me racontait un jour qu’il avait de la difficulté à comprendre le mode de vie de son fils. Pourquoi une maison si grande? Pourquoi tout ce matériel à l’intérieur? Pourquoi s’achète-t-il autant de choses?

Un jour, le maire demanda à son fils : «Pourquoi t’abonnes-tu au câble?» Tu ne regardes jamais la télévision. Tu es toujours en train de travailler. Tu n’as pas le temps de t’installer devant le téléviseur.» Et le fils de lui répondre : «C’est vrai, tu as raison. Mais peut-être qu’un jour, j’aurai le temps. Alors, j’aurai le câble.»

L’ancien maire me racontait tout ça avec un air de découragement. Mon fils s’achète des choses au cas où il en aurait besoin un jour, peux-tu m’expliquer ça, me disait-il.[……]

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Prenez le virage de l’habitation écologique et décidez-vous à acheter un chauffe-eau solaire. Nous avons un argument de taille pour vous: vous recevrez un crédit d’impôt du gouvernement du Québec dans le cadre du programme RénoVert.

Des conditions s’imposent pour l’installation d’un chauffe-eau solaire, mais elles sont peu contraignantes. Ne tardez pas car la durée du programme est de deux ans seulement.

Le fonctionnement d’un chauffe-solaire est relativement simple. Des capteurs de différents modèles installés sur le toit, côté sud donc plein soleil, transfèrent l’énergie solaire vers un chauffe-eau situé à côté du chauffe-eau classique par l’entremise d’un échangeur thermique et d’une pompe. Les deux chauffe-eau sont reliés.

Notez que le capteur solaire est parfois fixé au sol. Ou ce sont des panneaux solaires très minces installés sur le balcon. Au Québec, vu le climat, ces deux types de fixation sont à proscrire. Par contre, il a été question de fixer le capteur à la verticale sur un mur. Une évaluation d’Hydro-Québec en 2011 est présentée sur le site La Maison saine et écologique.

Vous vous demandez peut-être à quoi bon un deuxième chauffe-eau s’il ne remplace pas le premier? [……]

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